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Voltaire, le charme du vélo à la française


Emmenée par ses trois modèles – le Courcelles, le Bellecour et le Legendre -, cette jeune pousse française de 18 salariés, qui a notamment réalisé une levée de fonds l’année dernière de 5 millions d’euros, revendique sa position de prendre le contrepied d’autres marques : « Notre observation a été de voir que sur le marché du vélo, les batteries étaient ultra visibles. Nous avons voulu concevoir un produit accessible en termes de prix et au look élégant », répond Grégoire Lieurade, cofondateur de Voltaire. Avec une batterie amovible nichée sous la tige de selle et difficilement perceptible de loin, Voltaire a en effet cassé les codes. Une singularité renforcée par un look plutôt vintage et de nombreux paramètres liés à la sécurité. Cadre ouvert, système antivol, GPS, alarme, la monture offre de multiples options, qui a eu écho auprès de Décathlon : « Nous sommes présents dans les 30 plus gros magasins de Decathlon », poursuit-il. Voltaire est représenté chez une centaine de revendeurs en France, et compte atteindre les 150 détaillants d’ici 2024. Si 75% de son CA s’appuie sur le B2B, le digital et un flagship en plein cœur de Paris offrent d’autres alternatives à la volonté de gagner en visibilité et de conquérir des parts de marché. Les chiffres sont là pour exposer sa croissance : 400 vélos vendus en 2021, puis 1 200 l’année dernière et près de 2 000 vélos d’ici la fin de l’année. La marque vise désormais l’international avec un déploiement dans 12 pays (Belgique, Espagne, Allemagne, Suisse, Italie, Angleterre, Allemagne, Danemark, Pays-Bas, Portugal et en Corée du Sud). « Nous avons procédé étape par étape, s’ancrer en Ile-de-France, puis au niveau national et maintenant nous souhaitons davantage nous développer à l’international », résume Grégoire Lieurade. // TL


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